Esteban, c’est bien sûr le fils de Yann et d’Emilie; il a maintenant un peu plus d’un an. Bon, c’est pas tout à fait réglo puisqu’il a pris un peu d’avance au départ. Cela ne l’empêche pas de se porter comme un charme, de se montrer très vivant et très agréable comme vous pouvez le constater sur les photos (il est très photogénique, n’est ce pas ?) :
De quoi faire le bonheur de ses parents, et des ses grands parents.
Mois : juillet 2007
image du feu d'artifice de Strasbourg, pour le 14 juillet , vous l'aviez deviné.
C’est à un exercice photographique difficile auquel je me suis livré samedi.
D’abord l’approche: j’avais renoncé à prendre la voiture fort heureusement, mais même en vélo à cinq cent mètres du lieu de tir, on ne passait plus à moins d’avoir pris position deux heures avant le début du feu. Donc je me suis retranché à en viron un kilomètre sur une berge de l’Ill d’où on apercevait la plate-forme panoramique et j’ai installé mon pied. Vue la distance, j’ai opté pour un zoom télé 70-200.
Concernant la durée d’exposition, j’ai tâtonné pour avoir une image assez dense; je pense que la meilleure durée est de l’ordre de 5 secondes. Ensuite il reste à déclencher au bon moment…
Enfin reste à régler l’ouverture du diaphragme pour aboutir à une bonne exposition et ne pas « cramer » les couleurs; même méthode que pour le choix de la durée d’exposition !
Et puis il faut prévoir le bon cadrage c’est à dire essayer de deviner le coin du ciel vers où la fusée va aller; autant dire que ça ne marche pas à tous les coups, et impossible de faire répéter la figure !
Au final, je ramène quand même quelques photos dont voici les meilleures:
Lingolsheim: le tram arrive !
Enfin non, l’arrivée est toujours prévue l’an prochain donc en 2008. Ce qui arrive pour l’instant, ceux sont les rails du tram et c’est déjà pas si mal !
Quand je dis qu’ils arrivent… en fait, vous avez remarqué que les rails sont plutôt en train (!) de partir de Lingo; mais bon l’essentiel, c’est qu’ils soient là et de plus en plus nombreux, et bien alignés !
Pour cela, malgré la période de congés, des équipes d’ouvriers s’activaient hier sur le chantier à l’alignement des rails entre autres.
Par ailleurs, le pont entre Ostwald et Lingolsheim et qu’empruntera le tram, après avoir été cassé, enjambe déjà la ligne SNCF Strasbourg Colmar et est en passe d’être complètement refait.
En conclusion, comme nous pouvons le voir, il y a encore du travail pour plusieurs mois, mais le chantier avance.
L'Auberge de la Grenouille
Ca y est, Jérôme (c’est mon fils aîné, pour ceux qui ne le savent pas) est reçu à son DUT d’informatique avec plus de 14,3 à son stage de fin de DUT et plus de 13 de moyenne sur ce dernier semestre. Et donc, nous avons voulu fêter cette bonne nouvelle dignement.
Pour cela, nous l’avons invité au restaurant. Comme j’ai le goût du risque, culinaire (!), j’ai choisi un restaurant loin de l’urbanité strasbourgeoise, dans le petit village de Grendelbruch situé entre le Champs du Feu et la vallée de la Bruche et à moins d’une heure de route de la capitale alsacienne. J’ai trouvé ce restaurant en consultant le passeport gourmand dans lequel la présentation qui en était faite m’a paru très sympathique.
Il s’agit bien sûr de l’Auberge de la Grenouille
Donc nous avons gagné Grendelbruch et l’auberge se situe à l’entrée du village sur la gauche un peu en retrait de la route. En arrivant, j’ai eu une petite hésitation, l’extérieur, très banal, laissant plutôt penser à un quelconque restaurant de quartier ou, pourquoi pas, à un routier. Nous sommes entrés. Le restaurant comporte une seule salle, heureusement non fumeur, décorée sobrement mais avec soin et avec goût. Nous avons été invités à nous asseoir à une table située agréablement au fond de la salle près d’une fenêtre. Quelques tables étaient déjà occupées, l’ambiance était détendue et calme. Pendant que l’on nous servait un apéritif, nous avons pu consulté la carte et nos dernières appréhensions se sont vite évanouies…
Juste en exemple:
- une mise en bouche avec un entremet de soupe de poissons
- en entrée une tranche tiède de foie gras marinée dans une bière blanche et rehaussée de framboises (…excellent, le mariage de la framboise et du foie gras !) accompagnée d’un Gewurztraminer
- un plat principal un carré de veau aux champignons et purée citronnée accompagné d’un Morgon
- et en dessert un crémeux au chocolat chaud de Tanzanie
Les produits ont beaucoup de fraicheur, la cuisine et la présentation des plats sont modernes et incitent à la détente et à la dégustation; les quantités suffisent à vous sentir rassasié à la fin du repas sans excès. Au final, nous avons passé un agréable moment et personne n’a exprimé le moindre regret concernant le choix de ce restaurant pour fêter cette occasion. Donc c’est un restaurant que je peux conseiller.
Concernant la « douloureuse », c’est vrais que nous avons profité des réductions permises par notre passeport gourmand. Sans être excessifs, les tarifs sont dans la gamme de ce type de restaurant ; le premier menu très complet est à 30 €uros sans les boissons.
Bon appétit !
ps – au cas où vous voudriez vous laisser tenter, voici le lien internet de l’Auberge de la Grenouille
visiter le Musée Alsacien !
Le Musée Alsacien est un lieu magnifique où sont exposés de très nombreux objets témoins de la vie quotidienne en Alsace depuis le 18ième siècle jusqu’au début du vingtième siècle. Des pièces de vie, des ateliers magnifiquement reconstitués y sont présentés.
Le bâtiment a été complètement restauré et constitue un bel ensemble très riche en boiseries, autour d’une cour intérieure que l’on a tout le loisir d’admirer.
Le Musée Alsacien est situé au 23 quai St Nicolas à proximité de la place Gutenberg et de la cathédrale (il suffit de passer le pont). D’ailleurs depuis les fenêtres du musée il y a une très belle vue sur le cathédrale.
Cette année, c’est le centième anniversaire du Musée Alsacien; et pour cette occasion, les visites sont gratuites jusqu’à la fin de l’année; alors profitez-en pour le visiter et le revisiter !
un coup d'oeil au jardin
Le jardinage est une activité de plus en plus rare et pourtant très riche, qui offre à celles et ceux à qui le titre de jardinier revient de droit des moments de détente mentale que peu d’activités savent ménager. L’esprit libéré, le jardinier peut s’adonner à ses occupations favorites: l’observation, l’introspection, la réflexion philosophique. Bref quand le jardinier fait son jardin, il refait également un monde meilleur, mentalement bien sûr. Comme le disait déjà Jean-Jacques Rousseau, Jardiniers du monde de tous les pays unissez-vous !
Bon mais en attendant, et de façon plus terre à terre…, la fin de printemps ayant été copieusement arrosée, il ne faut pas s’étonner de l’aspect verdoyant du jardin. Salades, courgettes, carottes, concombres, persil, haricots, etc… ont bien profité malgré des températures un peu fraîches ; les tomates sont à présent à point… pour murir. Il ne manque plus que le retour du soleil, qui commence sérieusement à se faire attendre.
En attendant, la récolte des fruits rouges, cerises et groseilles, et bientôt cassis a bien occupé le jardinier que je suis.
Allez ! quelques photos (c’est plus fort que moi !):
Vous n’avez pas manqué de remarquer sur les photos dans le fond un de ces ustensiles tout à fait indissociables de l’activité du jardinier; je voulais bien sûr parler du vélo !
Moins 35000 !
C’est ce que j’ai lu dans la presse quotidienne aujourd’hui. Il s’agit de la réduction du nombre d’agents dans la fonction publique prévue dès 2008 (suppression de postes suite aux départs en retraite). Fantastique ! 35000 agents en moins, en année pleine, c’est de l’ordre de 1 à 1,5 milliard d’€uros d’économie par an pour l’état donc, donc pour le contribuable, donc pour la nation.
Ah oui mais voila, à quoi étaient-ils donc payer ces agents qui ne seront pas remplacés ? pas à ne rien faire, je pense… (pour la moitié d’entre eux ils étaient dans l’enseignement où les conditions de travail difficiles sont largement connues ). Bien sûr, il est des domaines et des administrations où les efforts d’économies très louables, la modernisation de l’état, le recours aux nouvelles technologies, peut encore simplifier et améliorer sensiblement les relations entre les administrations et les administrés ainsi que la façon de travailler pour le bien de tous. Mais par ailleurs, les insuffisances sont largement connues et reconnues dans de nombreux domaines (justice, système pénitencière, santé publique et vieillesse, enseignement, jeunesse et sports pour ne citer que les plus connue). Alors faut-il réduire à tout prix comme l’annonce faite le laisse largement supposé ?
Parce que la question qui suit est bien sûr comment va-t-on continuer à assurer les services que ces agents non remplacés rendaient à la nation donc à vous et moi, et à nos enfants ? si c’est le cas, qui va continuer à faire ce travail reconnu nécessaire ? et qui va payer pour ce travail si l’état, donc le contribuable, ne le fait plus ?
Il ne faut pas se faire d’illusions: si l’on veut un enseignement une santé une justice etc… de qualité, il nous faudra nous en donner les moyens. Et si l’on veut une égalité des chances, une égalité dans l’accès à ces services quelque soit l’origine la religion la situation économique ainsi qu’une fraternité dans la nation, les institutions élues et leurs représentants doivent rester les maîtres de la gestion de ces domaines clefs de la vie sociale.
L’alternative, c’est bien sûr l’ouverture de ces services à l’action privée donc au marché (au sens économique); le marché a d’autres lois et se moque bien de l’égalité et de la fraternité; sa régulation par la concurrence a conduit et conduit toujours à une fuite en avant profondément inhumaine, technique sociale, économique qui ne donne que l’illusion du dynamisme et du progrès.
A bon entendeur…
prise du vue au studio du PCCA début juillet 2007
Ci joint quelques photos prises pendant la dernière séance de prises de vue en studio; ces photos ont prises avec un 100 mm, 150 mm en tenant du type de boitier, donc plutôt en gros plan. J’ai une préférence pour ce genre de photos.
Les photos sans utilisation des flash, donc à grande ouverture et faible vitesse, et sans pied sont inexploitables et ne sont donc présentées…
Les photos ci dessous (et d’autres en plus) ont été envoyées au modèle en remerciement pour sa participation bénévole.
_____________________________________________
Un avis personnel: je préférerais un fond dans des tons clairs (crème ou même blanc) ou carrément sombre, qu’un fond gris comme celui utilisé pour ces photos qui donne une ambiance, il me semble, un peu terne. J’aimerais avoir l’avis d’autres photographe ayant participer à cette soirée…
En attendant le tram…
En attendant le tram promis pour fin août dans ce quartier du Neudorf (vers la rue de Ribeauvillé) , la plateforme du tram est mise à profil par les automobilistes toujours en mal de stationnement pour y garer de façon un peu cavalière leur chère automobile. Quelques photos à saisir rapidement (plus que quelques semaines !):

Cette dernière photo m’a valu des remarques d’un passant plutot jeune et un peu parano (il se sent filmé ou photographié en permanence) qui pensait être le sujet principal de ma photo. Hélas pour lui, je lui ai montré cette photo et il a pu constater que sa célébrité n’est pas encore d’actualité. Par ailleurs, il est vrais que le rapport à l’image a bien changé avec la télévision, la video surveillance, le numérique, internet et la marchandisation généralisée. Bientôt, il ne sera plus possible de déambuler dans une quelconque rue, de croiser des passants, de respirer un peu plus fort, en l’absence d’un contrat en poche spécifiant que des droits ont bien été acquités.