C’est comme un mauvais rêve: « Page blanche pour la rentrée ».
Une page blanche, comme un paradis blanc, comme avant… avant la crise, avant la Grèce et son déficit, avant Sarkozy le sauveur masqué, avant le tsunami et sa vague haute, haute comme trois building, avant les trop lourdes valises révélées et re-révélées (on ne nous apprend décidément rien), avant les bad boys toujours frais, toujours prêts (vous savez, les traiders…), avant les fleurs épanouies du nucléaire: Fukushima et Tchernobyl.
Avant quoi ! Avant que ma (leur) jeunesse et mes illusions ne passent.
Page blanche, ça n’existe plus que dans les mauvais rêves, comme la lumière prise de vitesse et comme un sénat devenu émotif.