"Que rentisse encore le glas gras des tueries !"


Des cris, des hurlements, le sang qui gicle, des regards hébétés, des corps qui tombent partout. Le rafales des mitrailleuses, les explosions. La mort partout. L’effroi. L’enfer prémédité, exécuté froidement. Pour qui, pour quoi, pour quel idéal ou quel dieu ? L’irrémédiable, l’amertume, la tristesse, le deuil.
Wolinski, Cabu, Bernard Maris et tous les autres de Charli
Hebdo assassinés, pour rien.
Ceux qui ont fait ça sont des abominables salauds. Je suis en deuil.