Harvey, Jose, Irma, Maria et ainsi de suite…

Dans la région là-bas, c’est la saison. En quelques jours deux cyclones de catégories 5 (vents supérieurs à 270 km/heure) ravagent les îles des Antilles.  Il y a quelques semaines, la ville de Houston n’était plus qu’un immense lac.
L’ampleur des ces quelques catastrophes (mais il y en a eu bien d’autres) résonne comme une claque magistrale et hélas violente de la Nature à la décision stupide du président des Etats-Unis Trump de quitter l’accord de Paris sur le climat.

Mr Trump va bien sûr s’en laver les mains en regardant ailleurs et sûrement parler de péripéties passagères, les milliers de victimes présentes et futures de ces calamités dont l’ampleur et la fréquence ne peut hélas que s’accroître, finiront bien par faire entendre raison.
Parce que au delà des aspects spectaculaires et sensationnels du spectacles brefs des destructions en train de se produire, largement étalés dans les média,  ceux sont la peur, la souffrance, la douleur et l’anéantissement des victimes qui doivent nous émouvoir, nous interpeller et guider notre raison.
Et le plus tôt sera le mieux, pour le bien des générations qui nous suivent.