Dans quelques directions où notre regard se porte aujourd’hui, on ne voit que des horizons assombris. Et il n’y a plus de sanctuaires où se réfugier, c’est aujourd’hui toute la planète qui entre en crise, et ce n’est malheureusement qu’un début.
Grace à La mondialisation si chère à nos libéraux, de délocalisations en délocalisations, c’est la planète qui va à présent être acculée au bord du précipice, et les soit disants « progrès » promis il y a 30 ans jettent aujourd’hui les populations déshéritées à la dérive.
L’exploitation des pays du tiers monde, la consommation et la recherche effrenée du profit comme seul aboutissement individuel portent aujourd’hui tous leurs fruits amers.
Et nous avions été prévenus : « Rien n’arrêtera les hordes d’affamés ».