
L’un est russe, l’autre est américain.
L’un a été emprisonné et est mort assassiné dans les geôles de Poutine. L’autre est emprisonné en Angleterre et attend son extradition pour aller pourrir le restant de ses jours dans les geôles du monde dit libre.
Leurs torts ? Finalement ils sont assez semblables: avoir osé élever la voix et révéler des vérités inavouables par des régimes également corrompus et fondés sur des dominations économiques, policière et militaires.
Si Biden n’est pas Poutine, il a le devoir de le démontrer en renonçant à poursuivre plus longtemps Julien Assange.