Le 15 octobre 2025, c’est demain et c’est by by windows !

adieu windows, bonjour le libre !

C’est effectivement le moment pour tous ceux qui sont sous la dépendance des décisions de Microsoft et qui vont subir ce jour si prochain l’arrêt de la maintenance de la version 10 de windows et de l’impossibilité de le mettre à jour vers la version 11 sous le prétexte que les machines un peu anciennes ne présentent pas toutes les exigences matérielles pour une sécurité optimale !

Voilà donc le dilemme :

    -> Dépenser des centaines d’€uros et polluer un peu plus la planète pour remplacer un ordinateur tout à fait satisfaisant par un nouvel ordinateur de façon parfaitement inutile, soit rester sur la version 10 avec des risques informatiques croissants (tiens, là Microsoft s’en tamponne le coquillard de la sécurité !)

    -> Heureusement, il y a bien une alternative pour celles et ceux qui voudraient conserver leur machine en toute sécurité. C’est bien sûr remplacer le système windows par le logiciel libre et le système linux et une de ses nombreuses distributions que j’utilise personnellement depuis plus de 25 ans ! Traitement de texte, photos, internet, mails, messageries, sons, vidéo, etc.., tout y est disponible et avec une très bonne qualité.

Alors, c’est donc vite réfléchi !

vive le logiciel libre !

Bayrou est fatigant !

Rien que de le voir, j’ai tout de suite envie de couper le son et l’image, Bayrou et son pseudo bon-sens bien d’chez nous: « Nous allons endetter nos enfants, jamais une famille ne ferait ça », gna gna gna (ça c’est moi).

Bayrou est vraiment fatigant (et il est pas le seul) !

Il nous prend vraiment pour des cons (il est pas le seul). Parce que la question qu’il esquive en parfait hypocrite (comme d’autres) c’est de savoir comment répartir l’effort, si effort nécessaire il y a .

C’est pourtant simple !


Faire contribuer fortement ceux qui en ont plein les poches et les comptes en banque et les comptes en actions


Arrêter de laminer toujours plus les services publics de l’école, de la santé, de la culture, de la justice, etc… et appauvrir un peu plus ceux qui joignent si difficilement les deux bout, les 40% qui n’ont pas pu partir cet été.


Maintenir les efforts pour contenir le réchauffement climatique et préserver l’avenir de nos enfants

Tiens, là ça ne le gêne plus de laisser un monde invivable à nos enfants !

  • Donc voilà, vivement que Bayrou dégage, ce qu’il aurait déjà du faire depuis longtemps !
  • Et vive les 10 et 18 septembre !

Un dimanche au cachot – Patrick Chamoiseau

P Chamoiseau - Un dimanche au cachot
Patrick Chamoiseau


Ce livre est un roman. Enfin… c’est écrit dessus, mais en est-ce vraiment un ? ou alors, c’est un roman bien étrange, entre histoire, culture créole et philosophie.

C’est l’histoire d’une petite fille à moitié folle, Caroline, enlevée à des parents drogués et brutaux puis confiée à une institution, la Sainte Famille.
Les bâtiments de cette institution sont construits sur l’emplacement d’une très ancienne plantation sucrière esclavagiste dont ne subsiste plus aujourd’hui que quelques vestiges en ruines. Et un peu à l’écart, une voûte sombre faite en pierres et à moitié enterrée est restée de cette époque.
Caroline ne s’est pas intégrée avec les autres enfants de l’institution, elle reste très isolée et, de façon inexplicable, fuit souvent se réfugier sous cette voûte en ruine où elle parait se sentir mieux, se détendre et s’apaiser. Sylvain, un éducateur de l’institution, a pourtant tout tenté. punitions, récompenses, pour sortir Caroline de son isolement, mais en vain.

Alors, en désespoir de cause, il demande à un ami, l’auteur, lui donc l’écrivain mais aussi éducateur de métier, de rejoindre Caroline sous cette voûte refuge pour tenter d’établir une relation avec elle, pour parler avec elle et pour essayer de la faire revenir.

C’était un dimanche pluvieux, un peu vide et désœuvré que tous les deux, Caroline et l’auteur, vont se retrouver comme piégés, enfermés pour de très longues heures sous cette voûte qui semble se refermer sur eux.


C’est le début de la plongée de l’auteur dans l’histoire de cette voûte sinistre où Caroline l’a attiré. Et il va y rencontrer tous les personnages du passé esclavagiste de cet endroit.

Il y a le Vieux Blanc aujourd’hui disparu, le défricheur, le violeur l’Oubliée et de la mère de l’Oubliée et de tant d’autres.
Il y a L’Oubliée, fille du Vieux Blanc et rejetée par sa Manman Bizarre, l’Africaine, Mais voici aussi La Belle, mystérieuse, indomptable, maléfique avec son ongle menaçant et qui s’avérera être la grand mère de L’Oubliée et la mère de l’Africaine. La mère et la grand mère se précipiteront vers la mort et les tortures plutôt que de subir l’asservissement.
Et il y a le Maître-Béké, le fils du Vieux Blanc, qui a repris la sucrerie esclavagiste lorsque le vieux blanc est devenu trop vieux puis est mort. Le Maître-Béké et son molosse dominent par le terreur ce lieu peuplés d’esclaves noirs déportés depuis l’Afrique.
Il y a le Vieil Esclave et Sechou tous deux seuls compétents pour la cuisson des cannes à sucre et donc à la fois indispensables au Maître et aussi inexistants comme êtres humains aux yeux du Maître, parce que noirs et esclaves, juste des machines. Le Vieil Homme puis Sechou vont marronner et fuir la sucrerie et le Maître-Béké et son Molosse sans que ces derniers ne parviennent à les reprendre pour les châtier.
Et il y a le Visiteur, le vendeur de porcelaine, qui est venu de France jusqu’ici, Hostile à l’esclavage il est venu pour constater, pour comprendre et pour témoigner. Son nom ? Victor Schoelcher.

L’Oubliée a eu peur pour le Vieil Homme lorsqu’il s’est enfui et

« elle avait maudit le ciel avec les mots de sa Manman Bizarre: consonnes vélaires, gutturales, qui s’épenchaient comme une grouillée de bêtes. »

Parce que dans la déraison de ces mots étranges incompréhensibles résonnent les profondeurs de la lointaine et originelle Afrique, le Maître-Béké fait jeter au cachot L’Oubliée.

Le cachot, c’est un lieu d’horreur dont on ne sort pas vivant, c’est en soit une torture;

« ce machin-là, c’est la mort en figure… c’est la mort dans la mort… »

en dit Sechou au visiteur.

Cette voûte sombre où Caroline et l’auteur se retrouvent enfermés est peut-être bien le vestige du cachot où L’Oubliée a été enfermée. Et l’auteur en écrivant pour son roman l’histoire de L’Oubliée, revit avec Caroline toute l’histoire dont elle-même est issue, son histoire.
Dans le cachot, L’Oubliée doit affronter le vide, la promiscuité effrayante des rats, des vers et des insectes rampants piquants mordants, et puis aussi la menace mortelle et de plus en plus proche et précise des bêtes-longues agressives et venimeuses. Comme sa mère l’Africaine et sa grand-mère La Belle, L’Oubliée ne cède pas à la peur de la mort. Mais elle échappe à la mort, elle affronte son destin et finit par réussir à survivre au cachot et aux bêtes-longues. L’Oubliée finalement quittera le cachot et la plantation sucrière sans avoir besoin de fuir, en passant calme, tranquille, la tête droite devant le Maître et son Molosse qui s’écarteront et la laisseront aller et partir vers les grands bois pour rejoindre ceux déjà partis.

Et Caroline accompagne l’auteur lorsqu’il s’enfonce profondément dans l’histoire de L’Oubliée, elle le soutient lorsqu’il vacille et risque de se perdre dans les ténèbres de la voûte et de l’histoire terrible qu’il écrit. C’est Caroline qui finalement sort la première de la voûte et tend la main à l’auteur pour l’aider à sortir à son tour quand Sylvain est venu les chercher. Et Sylvain est éberlué de voir que Caroline est devenue docile, qu’elle ait retrouvé un regard d’enfant et qu’elle soit allée spontanément rejoindre les autres enfants.
Sylvain dit que c’est grâce à l’auteur que Caroline est sauvée de son isolement et sa folie, mais non, l’auteur ne le pense pas.
Lui pense simplement ceci:

« J’avais seulement incarné dans ce cachot la douloureuse liberté que L’Oubliée était forcée de s’inventer. Sechou, le Maître, L’Oubliée, le visiteur… je les avais laissés me traverser en plusieurs mailles… Je les avais regardés vivre leur vie en moi, sans moi. Aller vivre leurs libertés en moi sans rien leur demander d’autre qu’une petite distance, ma propre liberté… »

« C’est en restant indécidable qu’une liberté peut ouvrir à toutes les libertés »

« La beauté est toujours neuve, c’est son signe. Elle se renouvelle et renouvelle toujours et c’est pourquoi on ne saurait la définir. Elle ne peut entraîner ni tyrannie ni barbarie quand on la cherche toujours et qu’on n’arrête pas. De la chercher toujours vous confie à la grâce ,.. cette grâce partout comme une légèreté. Ce que confère la grâce c’est l’intuition de la beauté. »

C’est un beau texte !

Aujourd’hui, plus de 2 millions de signatures contre la loi Duplomb, l’acétamipride, les méga bassines, etc…

non à la loi Duplomb

La loi Duplomb , du nom de sénateur très lié à l’industrie agro-alimentaire ( cf wikipédia) qui l’a proposée, a été adoptée par l’Assemblée Nationale sans débats selon une procédure très anti démocratique.

Cette loi prévoit:
  • le retour dérogatoire de l’acétamipride (cancérigène, destructeur de la faune),
  • la révision du rôle (bridage et limitation) de l’ ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) et de l’OFB (Office Français de Biodiversité) ,
  • la facilitation des réserves d’eau agricoles (mégabassines),
  • le relèvement des seuils d’autorisation pour les élevages (pour facilité les élevages intensifs).

    De très nombreuses associations (dont la Ligue Contre le Cancer, la LPO), des professionnels de la restauration, les apiculteurs, le monde de la recherche, des agriculteurs se sont élevés contre cette loi.

    Une pétition claire et intelligente a été initiée par une étudiante inconnue sur le site de l’Assemblée Nationale pour demander le retrait de cette loi. Cette pétition a rencontré un succès fulgurant et sans précédent en France.

    Voici le lien vers la pétition pour la signer à votre tour (si vous ne l’avez pas déjà fait !), et en voici aussi le texte complet:

    Non à la Loi Duplomb — Pour la santé, la sécurité, l’intelligence collective.
    10/07/2025
    Identifiant: N°3014

    Je m’appelle Eléonore PATTERY, j’ai 23 ans, et je suis actuellement en Master QSE et RSE (Qualité, Sécurité, Environnement / Responsabilité Sociétale des Entreprises).

    En tant que future professionnelle de la santé environnementale et de la responsabilité collective, j’apprends chaque jour à appliquer ce que vous — législateurs — refusez aujourd’hui de respecter vous-mêmes.

    La Loi Duplomb est une aberration scientifique, éthique, environnementale et sanitaire. Elle représente une attaque frontale contre la santé publique, la biodiversité, la cohérence des politiques climatiques, la sécurité alimentaire, et le bon sens.

    – Cette loi est un acte dangereux.
    Pour les travailleurs, les habitants, les écosystèmes, les services écosystémiques, et pour l’humanité tout entière.
    Elle fragilise les réseaux trophiques et compromet la stabilité de notre environnement — dont nous dépendons intégralement.
    https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014# Nous sommes ce que nous mangeons, et vous voulez nous faire manger quoi ? Du poison.

    📚 Les grands textes l’avaient déjà dit :
    Le rapport Brundtland, l’Évaluation des écosystèmes pour le millénaire (MEA), les rapports du GIEC, les études de l’OMS, de l’INRAE, de Santé Publique France… Tous alertent depuis des décennies sur les conséquences des politiques destructrices du vivant et de la santé.
    Et pourtant, vous persistez à légiférer contre l’intérêt général.

    ⚖️ Un acte possiblement inconstitutionnel.
    Selon l’article L110-1 du Code de l’environnement, l’État français est garant de principes environnementaux comme:


    « 6° Le principe de solidarité écologique, qui appelle à prendre en compte, dans toute prise de décision publique ayant une incidence notable sur l’environnement des territoires concernés, les interactions des écosystèmes, des êtres vivants et des milieux naturels ou aménagés ; »

    Et la LOI constitutionnelle n° 2005-205 du 1er mars 2005 relative à la Charte de l’environnement (JORF n°0051 du 2 mars 2005 page 3697) (annexée à la Constitution de 1958) dans son chapitre 1er :
    « Chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé. »

    En validant cette loi, vous violez potentiellement ce droit constitutionnel, et portez atteinte à l’obligation de précaution, pourtant consacrée par le principe n°15 de la Déclaration de Rio et repris dans notre droit.

    Je m’oppose donc à la Loi Duplomb.
    Par cette pétition, je demande :
    – Son abrogation immédiate ;
    – La révision démocratique des conditions dans lesquelles elle a été adoptée ;
    – La consultation citoyenne des acteurs de la santé, de l’agriculture, de l’écologie et du droit.

    Aujourd’hui je suis seule à écrire, mais non seule à le penser.

Harlem Quartet – James Baldwin

James Baldwin


Harlem Quartet est un livre qui se lit et qui ne peut être résumé. C’est un livre attachant qui vous porte à ouvrir les yeux et l’âme.
Avec ce livre James Baldwin nous emporte profondément dans la vie, les passions, la pureté et la ferveur de la jeunesse noire américaine des quartiers de Harlem dans les années cinquante.
Ce livre est un hymne et un appel à l’amour, à l’humanité, à la tolérance, à l’altruisme et à la justice. et vous porte

Le quartet de Harlem, c’est Arthur, Red, Crunch et Peanut, quatre ados qui essaient sans souvent y parvenir de devenir adultes.
Ensemble et depuis toujours, ils chantent du gospel dans les églises de Harlem d’abord, puis dans celles de toute l’Amérique du Nord par la suite.
C’est leur intimité la plus secrète, la plus crue et la plus charnelle, et leurs destinées que James Baldwin nous invite à comprendre et à partager, et surtout celle d’Arthur.
Arthur, adolescent si tôt et définitivement abusé, est le cœur palpitant de ce livre.

Harlem Quartet - James Baldwin


Il y a Arthur et son quartet, et tous les proches, avec d’abord ses parents Paul et Florence, ses sœurs et son frère ainé, Hall, sentinelle bienveillante qui se raconte et nous raconte son petit frère aimé, et les autres.
Et la miraculeuse, l’inconcevable Julia, devenue prédicatrice dès sept ans, puis écrasée, torturée, et pourtant encore et toujours passionnée, vivante et résiliante, et son petit frère Jimmy aimé. Et son père Joël, qui devient brutal et cynique, violeur monstrueux et qu’elle se refusera toujours à dénoncer.
Il y a toujours la foi et les cantiques et leurs mots si importants – ciel, péchés, chagrin, foi, chemin, saint esprit, croix, rivière, douleur, sauveur, Jésus, lumière, phare avec la religion qu’ils chantent.

Et il y a les amitiés et les amours sans fard, sincères, intenses et jamais trahis, ceux des parents d’Arthur et de Hall, ceux d’Arthur avec Crunch et puis Jimmy, ceux de Hall avec Martha, Julia puis avec Ruth, et les autres bien sûr.

« Derrière le visage de quiconque nous avons aimé pour de bon – qui nous avons aimé, nous aimerons toujours, l’amour n’est pas à la merci du temps et il ne connait pas la mort, ils sont étrangers l’un à l’autre -… L’amour aide alors, si la mémoire ne le fait pas, et la passion, excepté dans son intense relation avec l’agonie, travaille à l’ombre de la mort. La passion est terrifiante, elle peut vous faire vaciller, vous transformer, vous faire courber la tête comme un vent qui se lève du fond de la mer alors que vous êtes au large sur le bateau de votre mortalité ».

Et il y a le Pays et l’Histoire, avec la guerre qui envoie les plus âgés se battre en Corée et éloigne les amours.
Et il y a les couleurs de peau diverses et les origines, avec plus loin l’Afrique dont ils sont tous issus, et l’Asie aussi présente dans le sang et les visages.
Avec le Sud, toujours barbare autrefois, esclavagiste et aujourd’hui massivement enfermé dans une atrophie sociale et spirituelle une obsession de la différence de couleur, une paranoïa de l’intelligence si elle n’est pas portée par la bonne couleur.
Peanut y sera englouti, disparu et à l’évidence assassiné après un concert donné la-bas , victime du mépris, de l’esprit de revanche et de la haine des Noirs. C’est la vrais fin du quartet .


« Je regardai autour de moi.
Un Noir ne regarde pas autour de lui de la même manière qu’un Blanc: il y a une différence. Un peu comme j’ai appris à vivre, plus ou moins, avec ma peur de l’avion, j’ai appris à vivre dans un monde blanc.
Cela peut paraitre banal ou inamical, mais cela doit être dit: quand un Noir regarde autour de lui, il regarde, après tout, les gens qui contrôlent sa situation sociale, sinon sa vie, les gens que ses enfants rencontreront, les gens qui menacent tout ce qu’il aime.
Impossible pour un Noir de ne pas anticiper la catastrophe qui peut lui venir de ses compatriotes ».

Gaza.

Annie Ernaux


Gaza, comment parler de Gaza avec justesse et dignité ?
Comment parler d’Israël aussi, et de ces peuples là-bas si proches et si peu respectueux et sensibles aux histoires vécues si différentes et aux souffrances endurées hier et aujourd’hui ?
Et de nous aussi, ici, spectateurs impuissants ou complices.

L’écrasement, la destruction méthodique et complète de Gaza sous les bombes israéliennes est une ignominie que rien ne peut justifier et qui ternit déjà le cœur et l’histoire des Israéliens comme une tache indélébile.

Annie Ernaux


Comment parler de l’urgence pour la survie de tant de personnes vivant dans le dénuement et la menace vitale permanente ?

C’est ce qu’a réussi à faire l’écrivaine Annie Ernaux à la fin de l’émission « La Grande Librairie » du mercredi 4 juin 2025 dans une déclaration à propos de la situation actuelle à Gaza, que vous allez pouvoir écouter:

Que dire de plus sinon répéter inlassablement que les otages israéliens aux mains du Hamas soient libérés et rendus à leur famille, qu’Israël renonce à sa néfaste et illégale politique de colonisation, qu’il reconnaisse le droit d’existence et de coexistence avec le peuple palestinien et que son peuple se débarrasse de ses dirigeants actuels cyniques et corrompus et qu’il cesse sans délais son acharnement sanguinaire et sa prise en otage de tout un peuple.

Hey Jude

Hey Jude, don’t make it bad
Take a sad song and make it better
Remember to let her into your heart
Then you can start to make it better

Hey Jude, don’t be afraid
You were made to go out and get her
The minute you let her under your skin
Then you begin to make it better

And anytime you feel the pain, hey Jude, refrain
Don’t carry the world upon your shoulders
For, well, you know that it’s a fool who plays it cool
By making his world a little colder
Na-na-na-na-na, na-na-na-na

Hey Jude, don’t let me down
You have found her, now go and get her (let it out and let it in)
Remember (hey, Jude) to let her into your heart
Then you can start to make it better

So let it out and let it in, hey Jude, begin
You’re waiting for someone to perform with
And don’t you know that it’s just you ?

Hey Jude, you’ll do
The movement you need is on your shoulder
Na-na-na-na-na, na-na-na-na, yeah

Hey Jude, don’t make it bad
Take a sad song and make it better
Remember to let her under your skin (oh)
Then you begin (let it out) to make it better
Better, better, better, better, better (let yourself go)

Ce qu’en aurait pensé Audiard …

Michel Audiard


Qui ne connaît pas la célèbre et bien sentie maxime de Michel Audiard:

« Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît. »


Personne , enfin, presque personne … Il y a un plouc outre atlantique à qui on la lui a pas dite, ou qui n’ y a rien compris – trop con pour ça assuremment ! – Alors évidemment la boucle est bouclée et c’est donc sans espoir, con il l’est et con il restera.

Là, il se prend pour le Pape !

Trump

Et oui, Trump, il ose tout et jusqu’à la stupidité, et c’est si effrayant qu’il vaut mieux en rire.

Et maintenant, il se prend en plus pour un Jedi !

Trump


Bon, là il s’est bien planté puisqu’il a endossé le sabre laser et la stature de Dark Vador !
Finalement il faudrait peut être lui conseiller comme à Musk de se mettre sous temesta.

Paroles et Ecrits d’Ananda Devi.

Alain Bauer

Je présente deux extraits de l’émission « La Grande Librairie » ( magnifiquement présentée par Augustin Trapenard) du mercredi 26 mars 2025 dans lesquels vous allez pouvoir écouter des paroles et des écrits, dont le contenu est très actuel, de l’écrivaine et poète Ananda Devi; je ne la connaissais pas et que l’ai donc découverte en regardant cette émission.

Voici donc un premier extrait dans lequel elle nous parle avec beaucoup de retenue de délicatesse et de pondération de la fragilité du langage et des mots que les discours actuels dénaturent, détournent, avilissent et transforment « en murs de mensonges ».



Le texte « les mots peuvent mourir de mort lente » est lu magnifiquement par Ariane Ascaride.


Dans le second extrait, Ananda Devi nous dit la nécessité, aussi indispensable et vitale que l’air et l’eau purs, des arts de la musique de la littérature et de la poésie pour résister aux tristement actuels discours vindicatifs et aux bras tendus stupides, emplis de haine débridée et effrayants.



Une si longue attente …

wilber

La version stable 3.0 de GIMP (GNU Image Manipulation Program) a donc succédé à la version stable précédente, le 2.10.18 le 16 mars 2025. Cette nouvelle version stable a nécessité sur toutes ces années un travail titanesque à savoir la ré-écriture complète du code à partir de la bibliothèque GEGL (GEneric Graphical Library).


Une si longue attente, certes, mais les résultats sont là !

  • Le support jusqu’au 32 bits flottants succède au support … 8 bits
  • Une gestion colorimétrique complète
  • Le support au niveau des calques de la fonction des couches de réglages permettant les modifications non destructrices de l’image et donc la possibilité de reprendre un réglage déjà effectué pour l’ajuster.
  • Des outils supplémentaires tels que l’Outil de Transformations Unifié
  • etc..
Bien sûr ces apports ont été introduits progressivement dans les versions de développement successives et leur liste est bien plus longue mais chacun pourra prendre le temps de les découvrir.


Alors il faut tirer un grand coup de chapeau à tous les développeurs qui ont œuvré patiemment et avec acharnement pour offrir au monde du Libre ce fantastique outil de création et de retouche d’image.


wilber

Des torrents de ténèbres et quelques clartés salvatrices…

Alain Bauer

S’en tenir aux faits, s’interroger, écouter, comprendre, partager, et toujours préserver son humanité profonde en ce que nous partageons tous (peines, joie, douleur, espoir, souffrance, vie, mort,…) quelle que soit son origine et son parcours de vie.
Parler autrement du sort des immigrés est une imposture et un déni.

Mais bon il est totalement inutile de développer l’actualité chargée du moment, ici et ailleurs.

Par hasard, j’ai pu écouter sur France 5 dans l’émission C à Vous du 7 février les explications et analyse d’Alain Bauer en particulier, sur les sujets de l’immigration ou du droit du sol.

Les ayant trouvé très pertinentes, je tenais à les conserver et à les partager.

Les voici donc:


J’espère que vous avez pris le temps et l’attention pour écouter en totalité cet extrait dont je partage complètement et les explications et les conclusions.