B.B.C.

C’est un sigle qui signifie Bâtiment Basse Consommation et qui est bien répandu aujourd’hui. Il s’affiche sur la moindre nouvelle construction en très gros voire en clignotant si c’était possible. Il y a des zones entières BBC qui germent un peu partout à la périphérie des villes.

Quoi de plus normal me direz vous que l’on se préoccupe des économies d’énergie et d’écologie dans le domaine de la construction. Et pas de doute que cela soit, bien même si on peut s’interroger sur la nature des produits pas très naturels utilisés pour l’isolation. Mais bon hein, qui propose mieux en attendant ?n

Non, ce qui me gène vis à vis des promoteurs en marges plutôt rondelettes, enfin tout le laisse supposer (sinon à quoi sert les affaires ?), c’est le bien peu de cas fait du cadre de vie des futurs habitants de ces zones BBC. Et sous ce label un peu vert écolo, on construit n’importe où et n’importe comment et on densifie et on entasse au maximum. Et on peut craindre que se profilent rapidement les futures zones blanches ou rouges ou noires comme on voudra, avec leur contingent de ghettos, de délinquants et de violences.

photos du concert de solidarité avec l'association Solidarité Entr'aide Madagascar

Ce concert a été donné le 9 septembre dernier par l’Orchestre Métropolitain de Strasbourg (http://www.orchestre-m.com/) à l’Eglise Saint Paul de Strasbourg. Il a permis d’entendre des extrait de « la flute enchantée » de Mozart et de très belles voix de solistes également solidaires.
L’association SEM (http://semada.org/index.php/fr/) : « Créée en 1995 à Bollwiller en Alsace, Solidarité Entraide Madagascar (SEM) est une association à but non lucratif, indépendante de toute appartenance philosophique, politique ou religieuse, dont l’objet est de mettre en œuvre et de promouvoir des actions de développement rural à Madagascar. Centrée à sa création sur l’appui à l’éducation, elle a surtout développé depuis 2005 un important programme d’accès à I’eau potable et à l’assainissement sur la côte Est de la Grande Ile, mettant l’accent sur la formation et le renforcement des capacités locales. »
Sollicités par le chef d’orchestre Gabriel Mattéi qui dirige l’Orchestre M, nous sommes plusieurs photographes du PCCA (http://pcca.fr) à avoir réaliser des photos de ce concert et de la répétition générale qui l’a précédé.
Voici quelques unes des ces photos :

|


concert de bienfaisance de l’Orchestre M pour l association SEM – église St Paul de Strasbourg le 9 SEPT 2012

photo nature

Il parait que les photos nature, on en voit partout. C’est devenu d’un commun ! vraiment quelconque je vous dis, à moins de présenter LA photo très exotique, celle du tigre de Sibérie, du condor royal, et pourquoi pas du loup blanc, du mouton à cinq pattes ou du non moins célèbre dahut. Ou bien alors il faut être très technique, appâts, guets, barrières de cellules, flashs et boîtiers synchronisés sont devenus de règle. Et encore une simple photo ne suffit pas, il faut de l’action ! il faut du sang, du sexe ou du sentiment, du moins il parait c’est ce que réclame le public, donc le marché, donc les juges…

Ceux qui tiennent ce genre de propos oublient que l’important dans la photo, c’est d’abord le plaisir du photographe, plaisir d’être, de voir, de saisir le moment, la lumière, le lieu, d’être un témoin de la beauté ou de la vérité, que ce soit dans la nature, dans une ruelle, dans une foule ou dans une salle obscure. L’important c’est que sa photo lui plaise. Et si d’autres ont le bon goût de partager avec lui sa satisfaction, ce n’est que cerise sur le gâteau.

Donc, loin de la grandiloquente course à l’échalote, respectons la nature, notre nature (donc nos goûts) et celle des autres, en photographie comme dans bien d »autres domaines.

la révélation faite au corbeau.

Vous connaissiez le corbeau de la fable, celui avec en son bec un fromage ? Eh bien le revoici cette fois en transes et en proie à une vision de rêve pour un paradis des corbeaux. Après le loup blanc, voici qu’il croit voir le corbeau blanc !

A ce jeu de miroir aux alouettes, c’est toujours les mêmes qui se font plumer.

Parking souterrain.

Ces endroits quadrillés, très souvent sinistres, étouffants et peuplés d’ombres, ponctués de crissements de pneus, baignent dans la lumière crue des néons accrochés aux plafond si bas, lumière hachée par les faisceaux des phares de rares voitures qui se hâtent vers la sortie.
Il n’en faut pas plus au commun des photographes pour y trouver une source féconde d’inspiration !

Visite photographique à Stuttgart.

 

sortie PCCA 2 juin 2012

A une dizaine de photographes, c’est samedi que nous sommes allés pour la journée à la découverte du centre de cette ville.
Sûrement à la faveur du week-end et d’une belle et chaude journée printanière et ensoleillée, il y régnait une ambiance libre, décontractée et souriante, loin des clichés habituels de rigueur froide et spartiate attribuée un peu trop facilement à l’âme allemande.

sortie PCCA 2 juin 2012

 Stuttgart a perdu ses monuments historiques pendant la dernière guerre et présente aujourd’hui le visage d’une ville moderne, active et riche en culture. 

sortie PCCA 2 juin 2012
sortie PCCA 2 juin 2012