Quitter X, c’est maintenant !

L’investiture de Trump, repris de justice, est intervenue le 20 janvier en grande pompe, au milieu de milliardaires et de fanatiques, aux premiers rangs desquels se trouve son bras droit et numéro deux, Elon Musk avec son sidérant double salut bras tendu, façon nazi.


Pour l’Amérique, pour les démocraties, il n’y a rien à espérer de Trump, Musk et aussi des autres roitelets de la high-tech qui se sont honteusement bousculés pour lui prêter allégeance.


Et il ne reste qu’à espérer qu’une grande majorité des américains se réveillent vite et résistent activement de toute leurs forces aux mensonges, au cynisme, à la brutalité et à la barbarie de cette triste équipe.


En attendant, et pour nous sans attendre, désertons les réseaux sociaux, X en particulier, instruments de désinformations et de dominations des esprits ! C’est une modeste mais salutaire façon de résister pour chacun.

C’est l’heure des bons voeux ….

L’année 2024 s’apprête à nous abandonne en silence en nous laissant comme une tristesse, une amertume, un arrière dégoût entêtant qui risque de nous poursuivre tout au long de cette année 2025 qui va s’ouvrir bientôt.


Souhaitons donc quand même qu’elle soit fructueuse, enrichissante et apaisée, et surtout pour tous et partout ! Ce n’est pas rien de le dire…




Et encore bonne année 2025 !

La Syrie enfin débarassée de la lignée de tyrans Assad !

La Syrie est aujourd’hui un pays exsangue et meurtri après tant d’année de destruction et de répression féroce, d’écrasements et de bombardements par les avions russes.
La chute des Assad ne peut être ressentie que comme un soulagement, avec un regret: qu’elle ne soit pas le fait des forces démocratiques.
Il faut espérer pour les Syriennes et le Syriens que le régime qui se met en place ne fasse pas de la Syrie un nouvel Iran et qu’il ne soit pas une marionnette aux mains d’Erdogan contre les Kurdes.

Et puis il y a les réfugiés qui ont fui la guerre et les bombes et qui ont du partir et sont aujourd’hui ailleurs. Il faut souhaiter pour ceux qui le souhaitent qu’ils puissent revenir dans leur pays et retrouver leur famille et leur chez eux. Mais il y a une indécence et une inhumanité à vouloir les y forcer, d’autant que les capacités du pays et les incertitudes qui pèsent devraient inciter à la prudence.